que des jours horloges
les battements des tempes
réglées horloges aux temples
au crépuscule violet
et les nuages jurent jouets
semblant blasphèmes durs
des jours aux puérils caprices
qui passent révoltes latentes
s'affalant sur les azurs lisses
l'asphalte brûlant des augures
la fugue d'une antique toge
révèle pure la nuit éclatante
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