un horizon éteint
regards noyés dans les gravats
prisme terne et plat
le ciel est tombé
et palpite de colère
la pluie tranchante
les douleurs réverbèrent
éclairs thoraciques
spasmes de l'orage
(soubresauts des quêtes
aller à toi)
déferlent les cascades
de nos fjords éphémères
Belle poésie, mon ami!
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