sur les cendres de l'été
naquirent les braises de l'automne
dans la lumière des arbres
éclatèrent les beautés fumantes
les corps vivants
dans l'ombre fraîche
le soleil s'oublie
et charme les dorures du tableau
dans lequel s'épousent les formes
la structure des heures
le tablier du jour
le temps commun mais propre
dans l'octobre flamboyant
de mon incomplétude
la nuque détendue sous l'aléa du vent
les teintes de feu délibèrent
les langues d'une saison fauve
naquirent les braises de l'automne
dans la lumière des arbres
éclatèrent les beautés fumantes
les corps vivants
dans l'ombre fraîche
le soleil s'oublie
et charme les dorures du tableau
dans lequel s'épousent les formes
la structure des heures
le tablier du jour
le temps commun mais propre
dans l'octobre flamboyant
de mon incomplétude
la nuque détendue sous l'aléa du vent
les teintes de feu délibèrent
les langues d'une saison fauve
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