un régiment d'images passe et marche
dans ma tête consumée de cette aube lourde
éveillé pendant que même le temps dort
s'éteint le clignotement de l'architecture du rêve
toujours repousser l'aurore étale à coup d'impossible
'J'ai faim de l'étendue du temps, et je veux être moi sans conditions.'
«Éveillé pendant que même le temps dort»
RépondreSupprimerMagnifique, François-Charles!
Merci mon ami!
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