long indolent de l'aulne ô fleuve l'eau faune endiguée dans le courant de l'aube. Le temps s'écoule rivière dans la fuite des flots. Le long des rameaux des saules il a plu aléas d'ambre dans le remous errant dans le lit de l'eau les humeurs les amours. La belle Ophélie partit respirer les lys noyés de Narcisse. Le monde expire des frémissements d'ondes dans les rivelandes étreintes et cherche en vain les lueurs tout le
mercredi 25 avril 2012
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«ô fleuve l'eau faune endiguée dans le courant de l'aube.
RépondreSupprimerLa belle Ophélie partit respirer les lys noyés de Narcisse.»
Dans l'émotion de ta voltige haute belle et authentique.