je suis dans l'embrasure de la vie ouverte
toutes les anciennes pensées emmurées
se referment
dépouilles encore tièdes face contreterre
dans la fange asséchée lit de poussières
froides étouffées
le jour se relève et souffle
du bout des lèvres
les murmures du brasier
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire