L'inéluctable désir oblique du regard. Les sens inaffranchis étournés vers les trottoirs où marchent monocordes quelques épines dorsales. Agrémentées de roses à leur cou, à leur nuque fragile de neige. Et dans le souffle des foulards, quelques beautés passent. Que des phases. Superbes ficielles. Et les couleurs autour s'évadent, comme sur toi ma folie constellée du temps, comme ta présence et ton parfum dans les marées du rêve. De ce moment. Insaisissable.
lundi 17 décembre 2012
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