Parce qu'il faut jouer le jeu de la création furieuse et vaine
effrénénergie trouble qui remue la mare
quotidienne endormie d'habitude
sansrientoucher
surtension surémotion
la journée dans une parenthèse inextricable
deux courbes s'opposant juste au-delà de l'être
à peine aux limites de la peau
du derme délicat du vet fin
où vit
là
petit néant d'incompréhension et d'incertitude
le doute invisible mais présent
impalpable transparence
brusque apparence
donner forme à l'informe
à l'infirme capacité secouée
au secours des jours passés
vendredi 27 janvier 2012
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